Enfin la JDC est passée. J’ai pas grand chose à raconter là dessus à part que c’était long.
Non en fait j’avais besoin d’écrire mais comme souvent c’est trop le bordel pour être organisé. Je sais plus quoi faire du tout, je prends tellement sur moi pour des choses qui (en apparences) sont "dérisoires" que j’ai l’impression que je vais péter un câble sous peu. Sauf qu’à moi ça me fait du mal et pas qu’un peu. Je vois des choses qui me mettent hors de moi et j’essaie de me dire que c’est rien, que je me prends la tête pour de la merde.

D’accord.

Sauf que ça c’est pas moi. Moi je râle, moi je m’énerve, je suis jalouse de toutes les filles sur terre. Alors pourquoi est ce qu’il faut se sentir obligé de me chercher sur ça ? Surtout quand on sait comment je suis.
Je peux pas parler, je peux rien dire, je suis face à un mur, même pas, à une muraille. C’est un bouclier "anti-sentiments", activé sur le mode "j’en ai rien à kicker que t’ailles mal".
PUTAIN DE BORDEL DE MERDE MAIS J’EN AI RAS LE CUL D’ATTENDRE QUE MONSIEUR SE RÉVEILLE ! Je l’aime mais j’en peux plus, y’a des limites, on peut me prendre pour une conne et jouer au con en même temps, mais ça va au bout d’un moment ! C’est comme si y’a rien qui l’atteint mais genre rien du tout ! Il est tellement froid dans tout ce qu’il dit, il s’en bat les couilles de tout ce que je lui dis ! Et le plus gros problème c’est que c’est un putain de borné et que PERSONNE même pas moi, peut lui faire ouvrir les yeux sur son comportement de merde ! Il prend tout au quart de tour, il est sec, distant (sauf avec toutes les pouffiasses de sa putain de classe de merde - pardon pour ce langage vulgaire). Mais merde je suis en train de craquer ! Comment on peut devenir comme ça en si peu de temps ? ! Putain je sais pas me calmer ! J’aurais encore tellement de trucs à dire.

Le problème c’est que de fermer ma gueule ça me coûte trop émotionnellement.
Alors je médite, et là ça va mieux. Je mets en pratique le Noble Sentier Octuple (cherchez sur Wikipédia). Je médite et du coup après je relativise et j’essaie de penser à son bonheur plutôt qu’au mien, la base du Bouddhisme messieurs dames.

Oh puis merde j’en ai marre d’écrire.

Faut que je médite.